La fille, tout près de moi

Cette fille là, qui est assise tout près de moi, je la respecte, oui je la respecte même du loin, je la méprise, cette fille là qui apparait des fois toute douce, toute généreuse, toute compréhensive, souriante, enthousiastique, peut, en une fraction de seconde devenir, le “devil” de la société , par ses yeux tombantes, par son visage pâle, la personne assise près de moi devienne la plus méprise de la race humaine.
De temps en temps j’aime bien voir ses détails, les détails de son visage, les détails de ses doigts, les détails même de ses habits, oui elle est si charmante, elle est là plein d’ambitions, elle rêve d’y arriver, en utilisant tous les moyens qui peuvent lui passer par ses mains, sans réfléchir à propos le mal ou le bien, la fille qui est assise tout près de moi, est très active, énergétique, dessine son chemin devant elle sans faire de bruit – Ben bien sûr pas pour moi, parce que j’entends tous ses souffles – pourtant, elle s’absente, quand elle perd ses repères, et elle se coquille dans le petit espace, ici tout près de moi. D’ailleurs il nous sépare un tout petit câble de téléphone fixe, mis devant. l’éclat de sa petite bougie s"’éteint, et elle commence à souffler du silence mordant . A ce temps là, je cherche vraiment à la contempler, mais honnêtement, je n’arrive même pas la voir, elle s’absente, même si elle est toujours assise tout près de moi. je sens du vide, je sens de l’abandon, je sens de la solitude, et c’est pour cela peut être que je ne veux pas tourner mon visage vers elle, ce sont les deux mondes que je déteste décrire, alors comment je vais arriver à les voir, à les sentir, à les accepter si ça nous sépare qu’un tout petit bout de câble de téléphone mis devant elle?!
Je me demande si elle sent de l’amour, si elle connait de principe ce terme, en fait, reformulant ma phrase, est ce qu’elle arrive à sentir de l’amour, de la pitié, si chaque fois elle parle de quelqu’un du bien, le lendemain serait le méchant, elle trouve tous les arguments du monde pour culpabiliser le jeune, et le défendre à la fois.
Peut être je n’ai pas le droit de la juger dans tous les cas, elle est juste une accompagnatrice qui est assise tout près de moi, qui essai de se réjouir de son voyage, et elle a tout le droit de réagir comme elle le voit juste.
Elle m’a tendu son bras pour m’aider à s’assoir, quand j’allais peut être raté le voyage, et une chose est évidente, c’est qu’elle l’a fait d’une façon spontanée, elle n’a pas réfléchis avant de la tendre, ou peut être elle  a bien réfléchit, peut être elle connaissait déjà que je vais la décrire, que je vais lui être utile, déjà elle arrive à en tirer profit de chaque espèce prés d’elle, comme elle le fait maintenant en faisant tourner ces pages de ce magazine entre ses mains, elle est entrain de lâcher les fashion de l’année, les sacs, les bijoux, des cadeaux pour ses sois disant ami(e)s, et de temps en temps elle vérifie si je la suis, si je suis préoccupée par d’autres choses que ce magazine, elle pense que peut être que je veux prendre le magazine, pour lire les mots, malgré ça elle fait semblant que c’est foutus de la suivre.
Je n’ai pas peur de ses secs regards, ni de son sourire égoïste. mais de toute façon je fais tourner mon visage chaque fois elle lève ses yeux pour m’arrêter mais, j’allais lui dire: “désolé, j’aime contempler ta vie”, cette scène de sa vie tout près de moi.
J’avoue, que j’arrive pourtant, à déchiffrer quelques codes humains,  pas en totalité, mais l’important c’est que j’arrive à la fin à lire leurs regards, ce qu’ils allaient prononcer même, et cette fille là, me permet d’aller si loin dans ma programmation, d’ajouter des nouveaux signes, et je lui dois ça ‘en plus de son aide auparavant, à la gare routière.
Je n’arrive pas encore à savoir sa destination, honnêtement même la mienne, ce qui fait je ne sais pas qui va s’arrêter le premier,l’essentiel c’est que je commence à aimer ce silence parlant géré par elle, et selon sa façon, quant à moi, j’ai la mission de le déchiffrer, et un jour je serais professionnelle en ce type de programmation, et j’aurais l’honneur de l’ajouter sur mon CV, comme un atout qui va me permettre d’accrocher des prochains voyages, et qui sait, peut être cet atout va me donner la chance de prendre le train.
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Cette fille là, qui est assise tout près de moi, je la respecte, oui je la respecte même du loin, je la méprise, cette fille là qui apparait des fois toute douce, toute généreuse, toute compréhensive, souriante, enthousiastique, peut, en une fraction de seconde devenir, le “devil” de la société , par ses yeux tombantes, par son visage pâle, la personne assise près de moi devienne la plus méprise de la race humaine.
De temps en temps j’aime bien voir ses détails, les détails de son visage, les détails de ses doigts, les détails même de ses habits, oui elle est si charmante, elle est là plein d’ambitions, elle rêve d’y arriver, en utilisant tous les moyens qui peuvent lui passer par ses mains, sans réfléchir à propos le mal ou le bien, la fille qui est assise tout près de moi, est très active, énergétique, dessine son chemin devant elle sans faire de bruit – Ben bien sûr pas pour moi, parce que j’entends tous ses souffles – pourtant, elle s’absente, quand elle perd ses repères, et elle se coquille dans le petit espace, ici tout près de moi. D’ailleurs il nous sépare un tout petit câble de téléphone fixe, mis devant. l’éclat de sa petite bougie s"’éteint, et elle commence à souffler du silence mordant . A ce temps là, je cherche vraiment à la contempler, mais honnêtement, je n’arrive même pas la voir, elle s’absente, même si elle est toujours assise tout près de moi. je sens du vide, je sens de l’abandon, je sens de la solitude, et c’est pour cela peut être que je ne veux pas tourner mon visage vers elle, ce sont les deux mondes que je déteste décrire, alors comment je vais arriver à les voir, à les sentir, à les accepter si ça nous sépare qu’un tout petit bout de câble de téléphone mis devant elle?!
Je me demande si elle sent de l’amour, si elle connait de principe ce terme, en fait, reformulant ma phrase, est ce qu’elle arrive à sentir de l’amour, de la pitié, si chaque fois elle parle de quelqu’un du bien, le lendemain serait le méchant, elle trouve tous les arguments du monde pour culpabiliser le jeune, et le défendre à la fois.
Peut être je n’ai pas le droit de la juger dans tous les cas, elle est juste une accompagnatrice qui est assise tout près de moi, qui essai de se réjouir de son voyage, et elle a tout le droit de réagir comme elle le voit juste.
Elle m’a tendu son bras pour m’aider à s’assoir, quand j’allais peut être raté le voyage, et une chose est évidente, c’est qu’elle l’a fait d’une façon spontanée, elle n’a pas réfléchis avant de la tendre, ou peut être elle  a bien réfléchit, peut être elle connaissait déjà que je vais la décrire, que je vais lui être utile, déjà elle arrive à en tirer profit de chaque espèce prés d’elle, comme elle le fait maintenant en faisant tourner ces pages de ce magazine entre ses mains, elle est entrain de lâcher les fashion de l’année, les sacs, les bijoux, des cadeaux pour ses sois disant ami(e)s, et de temps en temps elle vérifie si je la suis, si je suis préoccupée par d’autres choses que ce magazine, elle pense que peut être que je veux prendre le magazine, pour lire les mots, malgré ça elle fait semblant que c’est foutus de la suivre.
Je n’ai pas peur de ses secs regards, ni de son sourire égoïste. mais de toute façon je fais tourner mon visage chaque fois elle lève ses yeux pour m’arrêter mais, j’allais lui dire: “désolé, j’aime contempler ta vie”, cette scène de sa vie tout près de moi.
J’avoue, que j’arrive pourtant, à déchiffrer quelques codes humains,  pas en totalité, mais l’important c’est que j’arrive à la fin à lire leurs regards, ce qu’ils allaient prononcer même, et cette fille là, me permet d’aller si loin dans ma programmation, d’ajouter des nouveaux signes, et je lui dois ça ‘en plus de son aide auparavant, à la gare routière.
Je n’arrive pas encore à savoir sa destination, honnêtement même la mienne, ce qui fait je ne sais pas qui va s’arrêter le premier,l’essentiel c’est que je commence à aimer ce silence parlant géré par elle, et selon sa façon, quant à moi, j’ai la mission de le déchiffrer, et un jour je serais professionnelle en ce type de programmation, et j’aurais l’honneur de l’ajouter sur mon CV, comme un atout qui va me permettre d’accrocher des prochains voyages, et qui sait, peut être cet atout va me donner la chance de prendre le train.

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